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Quelques notes prises sur le livre censif de la Seigneurie de la Braudiere

et concernant la Commune de Fenioux

en les années :  1787 - 1788 - 1789 - 1790  et  1791

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Ayant pu nous procurer, grâce à la grande obligeance de M. F. Bordier, propriétaire à la Ménardière, commune de Mazières-en-Gâtine, le livre Censif du Fief et Seigneurie de la Braudière (en Fenioux), livre de recette dont il est le possesseur, nous y récoltons certaines indications que nous croyons intéréssantes pour l'ensemble de notre petit travail sur Fenioux et ses différents lieux-dits.

Nous citerons principalement ce  qui a trait à Fenioux entre autres communes, telles qu' Ardin, La Chapelle- Tireuil, Le Beugnon et Allonne.

Sur la couverture du gros volume, lequel pèse bien 15 kilos, est écrit ceci : Livre de recette du Fief, Sagnoirie et Haute Justice de la Braudiere. En première page est cet autre titre : Livre  recette des Fiefs, terres et Seigneuries de la Braudière, Lunardière, et leurs Annexes.

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Sur l'intérieur de la couverture en parchemin du dit livre de recette, se trouve un avis-réclame du papetier relieur. Nous citons textuellement cet avis, en trouvant la rédaction assez curieuse.

 

Avis

Dépiéris, marchand papetier et relieur, relie très proprement tant en maroquin, veau, basanne, tranche dorée, marbrée qu'à l'anglaise, fauve, écaille  etc … etc … Tient magasin d'encre simple, double et double luisante de la petite vertu du sieur Guyot de Paris. Tient papiers de Hollande pour dessiner, de toutes grandeurs, comme Eléphant double où grand Aigle Impériale, super royal, grand médian, petit médian, papier verni pour calquer et lavé pour l'écriture, papier de poste de toutes grandeurs, d'Hollande et de France, doré sur tranche et à vignettes avec enveloppes, papier soie, battu, grand papier gris-bleu pour dessiner aux trois crayons, du gris, du bleu perle et royal bleu d'Hollande pour pastel, papier d'Angoulême et registres de toutes grandeurs et qualités, cartons de toutes espèces, vend et fait boites de quelque nature qu'on le désire. Tient cire à graver et d'Espagne, boites de pains à cacheter, encre de chine sans araque, plumes d'Hollande taillées où non, écritoires, crayons d'Angleterre, grattoirs, canifs de toutes façons. Tient toutes sortes d'estampes françaises et anglaises, plans et cartes géographiques, nouveaux principes du dessin en tous genres, comme figures, paysages, architecture et anatomie utile et nécessaires aux chirurgiens et aux peintres, livres et principes d'écriture, pièces de théatre, assiettes de tous opéras, contre danse, papier rayé pour musique de toute portée, dessus à broder, jeux d'Histoire Géographie et autres nouveaux costumes français, utiles aux perruquiers, tailleurs, coiffeuses, le tout dessiné par les plus célèbres artistes, cartes d'autel de toutes grandeurs, préparations et actions de graces avant et après la sainte Messe, images de dévotion, coloriées et en noir, de toutes grandeurs, velins et papiers découpés et sans être découpés, de toutes les espèces, petites et grandes découpures. Pièces à  8 et 4, pièces à boucher, doubles feuilles, pièces cintrées, bassins miniatures, modes à couper et autres, en dévotion et grotesque, papiers peints pour tentures, imitant les plus belles étoffes, dans le nouveau goût, arabesques, Perses etc … etc … Dessus de portes et de cheminées, corniches, bordures et lambris d'appui assortissants. Papier paillé, à fleurs et unis, dominoterie assortie, papiers dorés et argentés à plat. Tient aussi parchemin et velin en couleur et pour dessins en miniature. Almanach chantant et étrennes mignonnes, écrans fins et communs, baguettes pour cadres, dorées et en couleurs, vend généralement tout ce qui concerne le commerce de la papeterie et des estampes en gros et détail.

Le tout à juste prix

Le dit sieur encadre les estampes sous verre. Il demeure  à  Nyort, rue du Palais, près le puits.

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Petite  Métairie  du  Faugeroux (ou Fougeroux)

 

Pour raison d'une petite métairie appellée : Le Faugeroux, sise paroisse de Fenioux. Doit foy et hommage plain, plet et cheval de service, abonné à 50 sols, à mutation de vassal et 30 sols à mutation de Seigneur,  Art. 231 du censif, p. 3.

 

Fief du Fougeroux

                 

La Veuve du sieur Jeanneau, demeurante à la Saulnerie paroisse de Secondigny, doit foy et hommage plain, plet et cheval de service abonné à cinquante cinq sols à mutation de vassal, et 30 sols à mutation de seigneur pour raison du fief du Faugeroux, contenant une borderie de terre, située paroisse de Fenioux.   p. 4

                                           

La   Pochinière et Terrière

 

M. Charles Jourdain, chevalier seigneur des Châtelliers, de Villiers-en-Plaine, la Borlière, la Montagne et autres lieux, demeurant en son château de Villiers, doit foy et hommage plain, plet et cheval de service quand le cas y advient, abonné à vingt cinq sols et un denier annuel service fixé à neuf livres au 1er Janvier de chaque année, et en outre la dixieme partie des fruits pour droits de terrage et de cens sur le champ de Gaillard, et la dîme au douze sur le champ du Pont. Les autres domaines francs de dîme et de terrage.

Pour raison de deux borderies nommées La  Pochinière et Terrière, sises paroisse de Fenioux, dépendant de  la Seigneurie de la Borlière.     

 - Art. 233 du censif de la Braudiére. p. 5

 

Fief du Cloudy

M. De  Vaucelle, demeurant ville de Poitiers, doit foy et hommage lige a devoir de rachat et a mutation de Seigneur pour raison du fief du Cloudy contenant une borderie de terre, sise paroisse de Fenioux.   Art. 234 du censif   p. 4

 

La   Parthenaysière

 

Le Seigneur de Brusson doit foy et hommage plain, plet et cheval de service, abonné à  4  livres à mutation de Seigneur et de Vassal, pour raison d'une borderie de terre herbergée, appelée  « la Parthenaysiére ».   Art. 237 du censif.  p. 9                             

 

La   Berlandière et Belivrie

 

L … (Sans nom) … doit foy et hommage lige, devoir de rachat a mutation de vassal, pour raison du  1/4 des terrages et dîmes sur les tenements de la Berlandiére et Bélivrie, situés paroisse de Fenioux. 

Art. 238 du censif de la Braudiére.  p. 11

Fief des Noues

 

Le sieur Jean-Jacques Allard de la Resnière, demeurant ville de Poitiers, doit foy et hommage plain, plet et cheval de service, abonné à 30 sols, à mutation de seigneur, et 55 sols à mutation de Vassal, pour raison du fief des Noues, sis paroisse de Fenioux, sur le village et tenement des Noues, employé à l'article  243 du censif.  p.15

 

L' Oliverie

 

Le sieur René Gaufreteau, marchand au bourg de Secondigny, doit foy et hommage plain, plet et cheval de service, à mutation d'homme, abonné à 42 sols, 6 deniers pour raison de la Borderie de l'Oliverie, faisant partie de la métairie de l'Oliverie, Art. 244 du censif de la Braudiére.   p.16


Monjardin

                                                      

Le sieur René Gaufreteau, marchand au bourg de Secondigny, doit foy et hommage plain, plet et cheval de service à mutation d'homme, abonné à 42 sols 6 deniers, pour raison de la borderie et tenement de Monjardin, sis paroisse de Fenioux et faisant partie de la métairie de l'Oliverie,  Art. 245 du censif de la Braudière.   p.17

 

Borderie de Lavau, près les Châteliers

 

Messire Pierre Serin, prêtre chanoine de la Cathédrale de Luçon, y demeurant, au nom et comme titulaire de la Chapelle de Lavau, doit foy et hommage lige et rachat. En outre la dîme au douze, tant des fruits que de charnage, pour raison de la dite borderie de la Chapelle de Lavau.  art. 247 du censif de la Braudière.    p.20    

                                  

Le Vigneau  (ou Remigiou)

 

Le sieur Henry Joseph Bernardeau de l' Espinay, demeurant au bourg du Beugnon, doit foy et hommage plain, plet et cheval de service, abonné a 27 sols 6 deniers à mutation … Pour raison de la métairie avec ses dépendances et fief du Vigneau sis paroisse de Fenioux.

art. 248  du censif. p.21

La Pouge

 

Le sieur Jean Guillaume Florisson, notaire au bourg et paroisse de Fenioux, doit foy et hommage plain, pour raison du fief de la Pouge, faisant partie de la métairie de la Pouge, paroisse de Fenioux.  art. 249 du censif de la Braudière.

Près de la Pouge il existait un fief appelé "L' Ecotière". Il relevait du seigneur de Brusson.

 

La Bernardière

Jean François Langlade, sieur de la Bernardiere, demeurant au bourg de Fenioux, doit foy et hommage plain, plet et cheval de service, pour raison de la métairie noble de la Bernardière, avec le fief de Mortemer en dépendant, le tout situé paroisse de Fenioux.

art. 148 et 242 du censif.  p. 26

La Mangotière

   

M.  Guichard de Gourgé, demeurant ville de Fontenay, à cause de sa seigneurie de Puychenin, doit foy et hommage plain, plet et cheval de service abonné à 30 sols, pour raison de fief sur le tenement et village de la Mangotière, contenant une borderie de terre située paroisse de Fenioux, lequel fief dépend de la seigneurie de Puichenin. art. 253 du Censif.  p.27

 

Partie de la Métairie du Pré

             

Le sieur Louis Rivet Thibaudiére, bourgeois demeurant ville de Niort, paroisse Notre-Dame, doit chacun an, au terme de Noël, dix boisseaux d'avoine, ras mesure de Secondigny, et un faix de foin estimé 25 sols, le tout de cens et rente, la dîme au douze sur toutes les terres et jardins de la dite métairie, et la dîme de charnage aussi au douze dont le seigneur de ce fief a les deux tiers, et le prieur de Brusson St. Marc, l'autre tiers, pour raison d'environ 40 boisseléees de terre et deux boisselées et demie de pré, faisant partie de la métairie du Pré, sise paroisse de Fenioux ;

art. 418 du censif de la Braudière.  p. 213

   

La Métairie de la Chupaudière

 

Les enfants et héritiers du sieur Barnabé  Boutheron, demeurant à St. Hilaire sur l' Autize  (St. Hilaire des Loges - Vendée) doivent chacun an, aux termes de Notre Dame d'Aoust et Noël, 4 boisseaux et demi de seigle, mesure de Champdeniers, et 3 sols, pour droits de terrages ; dix boisseaux ras d'avoine, mesure de Secondigny et un faix de foin, estimé 25 sols, le tout de cens et la dîme au douze, tant des fruits que de charnage, de laquelle dîme de charnage, il n'est dû à cette seigneurie que les 2/3, l'autre tiers étant dû au prieur de Brusson St.Marc, pour raison de la métairie de la Chupaudiére, avec ses appartenances et dépendances situées paroisse de Fenioux. 

art. 419 du censif de la Braudière.   p. 214

 

Tenement de la Plissonnière

 

M.  Jacques Hubert Savatte de la Mothe, chevalier seigneur de la Roche-Hudon et de la Plissonnière, demeurant ville de Poitiers, paroisse St. Porchaire, doit chacun an, au terme de Noël, une raize d'avoine, valant cinq boisseaux ras, mesure de Secondigny, et deux faix de foin, estimés 25 sols chaque, le tout de cens, et en outre la dîme au douze, tant des fruits que de charnage sur toute la métairie,avec ses appartenances et dépendances, en ce qui est situé paroisse de Fenioux, de laquelle dîme de charnage, le prieur de Brusson St.Marc, en a le tiers.    

art. 420  du censif de la Braudiére.  p. 215

 

Borderie de la Chapelle de la Burlière ou Chapelle-Gaudin

 

M. Louis Gabriel Jahan de la Ronde, curé de Mauzay (près Thouars) au nom et comme titulaire de la Chapelle-Gaudin, allias "la Burlière"

Doit chacun an au terme de Noël, dix boisseaux ras d'avoine mesure de Secondigny et un faix de foin estimé 25 sols, le tout de cens et la dîme au douze tant des fruits que de charnage, dont de cette dernière le 1/3 va au prieuré de Brusson St-Marc. Pour raison de la borderie de la Burlière avec ses appartenances et dépendances, sise paroisse de Fenioux.

art. 421 du censif de la Braudière.  p.216

 

La Verdonnière

Le sieur Vicaire de Fenioux doit chacun an, au terme de Noël, un provendier d'avoine valant dix boisseaux ras mesure de Secondigny et un faix de foin estimé 25 sols, le tout de rente seconde foncière et en outre la dîme au douze, pour raison de la métairie de la Verdonnière, située dite paroisse de Fenioux.

art. 426 du  censif.  P. 117

Ci à cet article la mention suivante. Reçu du métayer de la Verdonnière deux années de devoir de 10 boisseaux et 25 sols -  Reçu encore du métayer le devoir de l'autre part sur lequel a été déduit le cinquième.

En  1789  le vicaire de Fenioux était un M. Guillemoteau, dont la famille habitait Xaintray.

   

La Portière

 

Le sieur Joseph François Vexiau curé d'Ysernay en Anjou, diocèse de la Rochelle, et Demoiselle Bernaudeau, demeurante à la Portière, doivent solidairement et sans division, chacun an au terme de Noël, 10 boisseaux ras avoine, mesure de Secondigny et un faix de foin estimé 25 sols, le tout de rente seconde foncière, et en outre la dîme du charnage au douze pour raison du tenement de la Portière, sis paroisse de Fenioux. 

Art. 427 du censif.  p.218

 

Aux Tiffaudières

 

Le dit sieur Vexiau … doit chacun an, au terme de Noël, deux boisseaux et demi ras d'avoine, mesure de Secondigny, de rente seconde foncière, pour raison du tenement des Tiffaudières, situé paroisse de Fenioux.

art. 428  du censif.  p.219

 

  Village et Tenement de la Vergne-aux-Pacault

 

La dite Marie Bernaudeau, fille majeure, demeurante au village de la Brunetière ( Fenioux) et Jean Jacques Jarriau, laboureur au village de la Portière, paroisse de Fenioux, doivent chacun an au terme de Noël, 10 boisseaux ras d'avoine, mesure de Secondigny, et un faix de foin estimé 25 sols, le tout de cens, plus la dîme au douze sur toutes les terres et parties des jardins. Le dit village franc de dîme de charrnage.  

Art 396 du censif de la Braudière.

 

La Métairie de la Mounerie (ou Aumônerie)

  

Le sieur Jean Jamain, marchand fabricant d'étoffes à la Beaujolière, paroisse de Vernoux-en-Gâtine, Pierre, François, Joseph, Augustin, Jean et Marie Jamain, ses fréres et soeurs, doivent chacun an au terme de Notre-Dame-de-Mars, quinze boisseaux ras d'avoine, mesure de Secondigny, et au temps des fauches, un faix et demi de foin appelé herbau, et un biau de quatre boeufs avec charette pour aider a charroyer, pendant un jour seulement, jusqu'au bourg de Fenioux, le foin qui croit en le pré du bourg, dépendant de la seigneurie de la Braudière, en nourrissant hommes et bœufs. Le tout de cens, en outre la dîme au douze sur les terres et charnages aussi au douze sur les maisons et jardins. Laquelle dîme de charnage des dites maisons et jardin, se partage avec le prieur du Vieux Brusson, savoir : le Seigneur pour les 2/3, le Prieur pour l'autre 1/3. Pour raison de la Métairie de la Mounerie avec ses appartenances et dépendances.

art. 393 du censif de la Braudière.   p.183                

Nota

Ici est la mention : reçu les arérages avant que M. Frère en fut fermier.

En outre à la page 185 du livre censif il est question d'une chenaye, sise paroisse de Fenioux, près le Grand Champ de la Verdonnière et près les champs de la Huche du Bois et du Chiron de la Mounerie, confrontée à l'article 406 du censif de la Braudière.

 

Tenement du Pain, faisant parti de la Motte du Pain

  

Le sieur Jean Baptiste Cibard, marchand demeurant à la métairie de la Pommeraye, paroisse de Cours, doit chacun an au terme de Noël, 22 boisseaux ras d'avoine, mesure de Secondigny, un faix de foin, abonné à 25 sols, un chapon et 3 sols 8 deniers, et au temps des métives la douzième partie des fruits pour droits de terrages, le tout de cens, et la dîme au douze sur toute la métairie.  

art.  395 du censif de la Braudière.  p.186

Mention : Reçu de Guérineau du Pain, 3 années du devoir et un chapon.


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Ci après suivent de nombreuses pages dont le contenu à peu près pareil à ce qui est cité ci avant, a trait aux borderies ainsi qu'aux petites et aux grandes métairies de la Jarrie.

Comme il serait beaucoup trop long de citer, nous passons, comme nous ferons du reste pour nombre de tenements d'aglomérations de fermes et de villages.

Pour les tenements concernant La Touche-Marion, dans lesquels tènements un M. Charles de Racodet chevalier de l'ordre militaire et royal de St-Louis, chevalier seigneur de la Vergnais, la Vergnaye  où la Vergnée, et autres lieux environnants, demeurant, ville de Fontevay-le-Comte, possédait de nombreuses terres ainsi que le fief de la Vergnais paroisse de Fenioux, nous abrégeons forcément.

Nous en ferons autant pour le village de la Vergne-Samoyeau (aujourd'hui la Vergne-Chamereau) paroisse de Béceleuf, et la métairie de l'Emerière (commune de Béceleuf) à propos de laquelle est souvent cité le nom d'un M. Philippe Richard, demeurant à sa terre de la Gort, paroisse de Xaintray.

A cette époque un François Gauthier était métayer à l'Emerière, on cite encore d'autre part le nom d'un M. Chebrou seigneur du Petit-Château, commune de Béceleuf.

On cite aussi le tenement de la Motte de Roche-Cervelle, on dit vulgairement :  Roc-Cervelle, car à ce lieu se trouve un gros  rocher, situé dans un lieu abrupte et assez accidenté, loin de toute habitation, et à l'intersection de deux rivières allant sur Ardin, se jeter dans l'Autize ; à ce tenement de Roche-Cervelle, un M. Marc Arnault, marchand fermier à la Cour de Fougère, paroisse de Béceleuf, payait la redevance de deux oies blanches, au terme de Noël, au seigneur de la Braudière  (voyez encore une fois, pourquoi des blanches ?)

Actuellement se tient tous les ans à ce lieu-dit, en été, une petite assemblée populaire, ou la jeunesse des environs y va danser, la soirée d'un dimanche d'été.

J'ai encore lu sur le livre censif, le nom du lieu-dit : le village du Plet. Ce village est peu éloigné de Roc-Cervelle. Il est situé tout en haut d'une forte éminence de terrain au bas duquel coule une des rivières qui va rejoindre à Roc-Cervelle. On parle de la seigneurie du Plet, mais on ne cite pas le nom du titulaire de cette seigneurie.

D'autre part je relève à un article sur Béceleuf, qu'un M. Espron de Beauregard était dans ce temps, seigneur de Pouzay, Béceleuf et  autres  lieux, aussi Beauchêne  paroisse d'Ardin. Tous ces tenements ci-dessus cités sont paroisse de Béceleuf.

En Ardin, la métairie de Grignon, le titulaire possesseur était croyons nous, un Messire Pierre Hugueteau, conseiller du Roy et son procureur honoraire a la maitrise des eaux et forêts de la ville de Niort, paroisse de Notre Dame.

Un M. Michel André Clémanson était curé d'Ardin, et y demeurait vers 1788 à 1792. ect … ect … ect …

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Je m'aperçois que je m'éloigne trop de Fenioux, j'y reviens dans la section et les tenements du bourg.

 

  Ténement du bourg de Fenioux

 

Le dit sieur Gautier, prêtre, au nom et comme curé de la paroisse de Fenioux, y demeurant maison presbytérale, doit chacun an au terme de Noël, 20 deniers de cens, pour raison de la maison presbitérale de Fenioux avec ses appartenances et dépendances, cours, issues et jardins, le tout se tenant, sis au bourg de Fenioux.  Art.257 du censif de la Braudière.  

Le même doit au terme de Noël  4 deniers de cens pour un jardin près sa cure.   p. 49

 

Suite du bourg de Fenioux

 

François Braud, bordier au bourg, doit … pour un jardin sis devant le cimetière. M. Charles Girard, tailleur d'habits, demeurant au bourg de Fenioux, doit … pour un jardin près le bourg de Fenioux. Le même doit 7 deniers de cens, et est sujet aux moulin et four banaux, pour une maison et jardin au bourg de Fenioux. Le même paie encore pour deux ou trois autres petits immeubles d'à peu près même importance. p. 50 et suivantes

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Demoiselle Marie Françoise Jobet de la Pagerie, fille majeur, demeurante au bourg de Fenioux, et  le sieur Joseph Désiron sous inspecteur des fermes du Roy à l'ile d'Oléron, doivent un sol 7 ceniers de cens, pour raison d'un jardin sis près le cimetière et le bourg.  p. 52

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Le sieur René Gaufreteau, marchand au bourg de Secondigny, doit … pour un petit jardin autrefois en grange, dépendant de la borderie de la Caraque, sise au bourg et paroisse de Fenioux ;

Le même paie aussi … pour 4 planches de jardin sis au même lieu  p. 56

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Les enfants et héritiers de Bonaventure Seguin, demeurant chez Jacques Cantet, leur curateur, fermier à la Saumorière de Fenioux, doivent pour raison d'une maison et jardin sis au bourg de Fenioux  p. 58

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Le sieur Jean Fleau (dit Arthenay), huissier royal au bourg de Fenioux, doit pour une planche de jardin etc ..

Le même doit au terme de Noël une Géline de cens, pour l'Ouche Moriceau, sise près le cimetière.

Le même encore pour un petit pré sis près le bourg et la métairie de la Butauderie.  p. 59

Le même, et les mineurs Boileau doivent … pour leurs maisons, cours et jardins, sises au bourg, devant l'église.

Un sieur Fleau (dit Arthenay) serrurier au bourg paie pour maisons, cours et jardins et dépendances sises devant l'église du lieu.  

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Demoiselle Marie Jamain, fille mineure, demeurante avec le sieur Joseph Laurent, son père vitrié, au bourg de Fenioux, doit au terme de Noël, deux fourches de biau, abonné à deux sols six deniers de cens, pour maison, cour et jardin, sis au bourg de Fenioux.  p. 65      

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Louis Lestrigou, menuisier au bourg de Fenioux, doit un chapon et 12 sols 6 deniers, le tout de cens, pour raison de ses maisons, jardins, cours et issues, sis au bourg de Fenioux, près la Salle … où ??  

art. 255 du censif  de la Braudière.  p. 66

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Le Sieur René Gaufreteau, marchand au bourg de Secondigny, doit 50 sols et deux chapons, le tout de cens, pour raison de deux maisons, cours et jardins, l'une desquelles maison était autrefois "la Seigneurie de la Salle" et l'autre appelée "la Caraque"

Art. 276 du Censif de la Braudière

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Au sujet de ces anciens lieux-dits et leur dénomination, on sait, et nous l'avons dit précédemment, que "la Caraque" était le groupe de petites maisons du quartier de la cure.

Quant au lieu-dit de "l'ancienne Seigneurie de la Salle", il se pourrait que ce fut dans des terrains actuellement en jardins, appartenant à Mr Auguste Chartier, charron-forgeron, car il paraîtrait que lorque l'on a mis ces terrains, qui étaient en nature de prairie, en jardins, on a trouvé en les défonçant et les labourant, de nombreuses fondations de murs et même certaines de forme circulaire, ce qui ferait penser que si la vieille "Seigneurie de la Salle" devait se trouver par là vers "la Caraque", il n'y aurait rien d'étonnant que l'ancienne "Seigneurie de la Salle" fut par là dans ces jardins.   p67

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Les mineurs Luc Ménard et Pierre Brossard, cordonniers au bourg de Fenioux, doivent … pour une maison, cour et jardin, appelé "la Bouchandrie", sis au bourg de Fenioux. Où ? Nous ne connaissons pas ce lieu-dit vers le bourg appelé : "la Bouchandrie".

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Louis Joret, boulanger au bourg de Fenioux, paie pour une maison, cour et jardin,  sis près le four banal au bourg et paroisse de Fenioux.

Art. 290 du Censif de la Braudière

Nous ne savons pas encore au juste où était le four banal.

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La veuve Catherine Cardinault, veuve de René Airault aubergiste au bourg, paie pour raison d'une maison ou pend enseigne : "A la Croix d'Or"

Art. 281 du censif de la Braudière   p.70

Nous n'avons pas encore pu découvrir où était établie l'auberge de "la Croix d'Or".

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Le sieur Fleau, dit Arthenay, huissier royal au bourg de Fenioux, doit chacun an, dix huit deniers de cens, pour raison d'un jardin sis au bourg de Fenioux, derrière la maison du "Cheval Blanc" mouvante de la Borlière (c'est-à-dire dépendante de la Borlière). Nous croyons que la maison du cheval blanc était celle occupée actuellement par Mr Emile Bonnet (boulangerie et hôtel).

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M. Jean Guillaume Florisson, notaire royal au bourg de Fenioux doit : sept sols deux deniers de cens pour raison de la maison de la Corne, avec ses appartenances, cours, jardins en dépendant, le tout se tenant. 

art. 289 du censif de la Braudière.

Compris une aire sur le devant, dans laquelle se trouve un puits.  p. 81

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Le dit Jean Guillaume Florisson, notaire royal doit deux deniers de cens, pour raison d'un jardin sis au jardin de la Gasse, au bourg de Fenioux. 

art. 287 du censif de la Braudière.  p. 79

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M. Benjamin Joseph Guillemoteau, prêtre, au nom et comme vicaire de Fenioux, demeurant au dit bourg, doit chacun an, au terme de Noël, deux deniers obole de cens pour raison d'une maison et jardin sis au bourg de Fenioux. 

art.  291 du censif de la Braudière.  p. 83

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Le sieur Gautier, prêtre, au nom et comme curé de la paroisse de Fenioux, demeurant au bourg du dit, maison presbitérale (la cure), doit chacun an au terme de Noël, trois sols de cens, pour raison d'un verger situé au bourg et paroisse du dit près la maison de l'Aumonnerie où Vicariat.

art. 293 du censif de la Braudière.  p. 85

Cette maison se trouvait construite où est actuellement le petit jardin nord maison de Mme Veuve V. Bernard.

Le sieur Jean Capon, demeurant au bourg, et Philippe Capon aussi marchand demeurant à Daligré (allias Maran) et le sieur Jean Capon, demeurant à St-Philbert, doivent pour raison de la maison de  "la Caponnerie" avec ses appartenances et jardin en dépendant, se tenant sis au bourg et paroisse de Fenioux.

art. 296 du censif de la Braudière.

Conclusion

Donc le groupe de maisons, sis au bas bourg, route de Xaintray, et appelé vulgairement "la Caponnnnerie" vient sûrement du nom de ses anciens propriétaires, les Capon.

D'autre part, les dits sieurs Capon, doivent pour raison d'une maison appelée "la Borderie de l'Etang", avec un pré et un jardin en dépendant le tout se tenant, sis au bas bourg de Fenioux.

art. 297 du censif de la Braudière. 

Conclusion

Le nom de cette borderie de l'Etang, portée au censif de la Braudière, prouve une fois de plus l'existence de l'ancien étang de Fenioux, dont nous avons parlé d'autre part, et qui occupait toute la longue prairie de la Braudière, depuis le chemin de Fenioux à Xaintray jusque assez loin du côté de Taneray.  p. 89

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Les dits sieurs Capon, Louis Godillon métayer à la Chevallerie, et les héritiers Nicollas Fournier, doivent solidairement au terme de Noël, deux chapons, une géline, onze sols, et au temps des fenaisons, deux fourches de biau au pré du bourg, le tout de cens,pour raison de leurs maisons et jardins, sis au Bourg-Jarousson.  p. 91

Nota : Nous croyons que ce que l'on entendait, dans ce temps là par deux fourches de biau, c'était deux ouvriers faneurs, munis de leurs fourches à faner les foins, et par un  biau (beau) temps.

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Le dit sieur Gaufreteau, marchand au bourg de Secondigny doit chacun an, au terme de Noël, 3 chapons de cens, pour raison de deux maisons, où était autrefois la Seigneurie du Bourg-Jarousson, cour et jardin se tenant.

Ceci nous prouve l'existence jadis, d'une petite seigneurie au Bourg-Jarousson, laquelle dépendait disent les actes de 1636 et 1666, en notre possession, de la seigneurie et haute justice de la Braudière.  p. 93

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La Demoiselle Marie Jamain, fille mineure, demeurante avec le sieur Joseph Laurent son père vitrié, au bourg de Fenioux, doit au terme de Noël, deux gélines et au temps des fenaisons, une fourche de biau pour aider à faner le foin de cette seigneurie.  p. 94

Ceci pour raison d'un pré situé au Bourg-Jarousson.

Nota : Cet article est encore une confirmation de notre appréciation sur ce qu'était une fourche de biau.

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Le sieur René Frère de la Pommeraye, marchand fermier au château de Dislay, paroisse d'Ardin, doit quatre deniers de cens, et une demye fourche de biau, au pré du bourg, pour raison d'une écurie et jardin, sis au Bourg-Jarousson.  p. 96

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Le dit sieur Frère de la Pommeraye, doit cinq sols, une géline, et une fourche de biau, apréciée à 15 deniers, le tout de cens, pour une maison et ses dépendances, sis au Bourg-Jarousson.

art. 304 du censif de la Braudière.  p. 97

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Le dit sieur curé, Curé de Fenioux, doit chaque terme de Noël, six deniers de cens, pour raison d'une piece de pré, nommé le pré du Bourg-Jarousson, contenant environ trois journaux.

Art. 307 du censif.  p. 100

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Le dit sieur René Gaufreteau, marchand au bourg et paroisse de Secondigny, doit chacun an, au terme de Noël deux sols cinq deniers de cens et la dîme au douze, pour raison d'un jardin d'environ deux journées de bécheur (voyez cette mesure de superficie) dépendant de Monjardin (le Jardin).  p. 101

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Nous arrêtons ici pour les ténements du bourg et nous revenons à d'autres ténements des Métairies et Villages. .                                                                 

Petite Métairie de la Limouzinière

Le sieur Frère de la Pommeray, marchand fermier au château de Dislay, doit solidairement et sans division, et au temps des métives, la sixième partie des fruits pour droits de terrages et dîme, pour raison du tenement de la Mitoisière (village et tènement de la Mitoisière), sis paroisse de Fenioux.

art. 320 du censif de la Braudière.  p. 122

En ce temps là, 1787 - 12, la Mitoisière aurait elle été un village ? Nous ne le croyons pas, à moins qu’y fut comprise une portion du village de la Jarsonnière.

 

Tènement de la Brunetière

 

La dite Marie Bernaudeau, fille majeure, demeurante au lieu de la Brunetière paroisse de Fenioux, doit chacun an au terme de Noël, deux sols, deux deniers et quatre sols pour des Voireaux, le tout de cens, et en outre la dîme au douze de charnage et les menues et dîmes vertes, de laquelle dîme de charnage il en appartient 1/3 au prieuré du Vieux du Vieux-Brusson, pour raison du village et tenement de la Brunetière.

Art. 425 du censif de la Braudière.  p. 124

Qu'était ce que ces menues et vertes dîmes ?  Peut-être des fourages verts. p. 124

 

Village et Tènement de la Barre

 

François Lucet marchand demeurant au village de la Barre de Fenioux doit chacun an, au terme de Noël, six sols neuf deniers d'une part, un chapon d'autre, quatre sols pour les Voiraux encore d'autre, et au temps des métives, la sixième partie des fruits pour droit de terrage et dîme, le tout de cens et la dîme de charnage au douze tant d'agneaux que de gorrons, de laquelle il n'est dû que les deux tiers à cette seigneurie de la Braudière, l'autre tiers étant dû au prieur du Vieux-Brusson, et en outre chacun an, au terme de St-Michel, deux boisseaux de seigle, mesure de Champdeniers, pour raison du village et tenement de la Barre de Fenioux.

Art. 322 du censif de la Braudière.  p. 126

Au tènement  des  Nouillères (près la Barre), il y avait environ 96 boisselées de terre et 15 journaux de pré.

 

Village et tenement de la Bonnetière, paroisse de Fenioux

 

1° François Goichon, laboureur au dit village. 2° Jean Fleau, huissier royal au bourg. 3°  Jean Magloire Fleau, marchand à la Chapelle-Thireuil. 4°  Jean Bonnet, jardinier au Château de Brusson. 5°  Les enfants Pierre Bonnet, demeurant chez Pierre Renaudet, leur père vitrié, à la Juninière. 6° Jean Dutaud, marchand à la Mangotière. 7°  Allonnet br à la Bonnetière ; 8°  René Audurier, laboureur à la Mangotière. 9°  Audurier le Jeune, à la Portière. 10°  Marie Bernardeau à la Brunetière. 11°  Florisson notaire royal,

doivent chacun an, au terme de Noël, dix sept sols, deux sols appelés les Herbants, 4 sols sur les Voiraux, deux chapons et trente boisseaux ras avoine, mesure de Secondigny, au temps des métives, la sixième partie des fruits, pour droit de dîme et terrage, ect … ect … pour une ouche appelée « Le champ du Noyer » appartenant au dit sieur Allonnet … et aussi la dîme sur une vielle ouche où est la dîme au douze pour charnage qui se partage avec le prieur de Brusson St-Marc qui en a le tiers, les deux autres tiers dûs à la seigneurie de la Braudière.

Le sieur Florisson notaire royal doit deux oyes pour droit de dîme et terrage, dix deniers de cens, pour raison de deux pièces de terre appelées « Le Pâtis des Humeaux » et deux pièces de pré appelées « La Noue Jamboeuf » et « les Prés Nouveau », sis près le grand champ de la Butauderie, sur le chemin tendant de Fenioux au cimetière, à main gauche.

Art. 353 du censif.  

 

Champ de la Juninière (allias) l’Etang Gelier

 

Les dits sieurs Capon doivent chacun an, au terme de Noël, un denier de cens et la dîme au douze, pour raison d'une piéce de terre appelée « Le Champ de la Juninière » allias l'Etang Gelier, sis sur le chemin du dit Fenioux à la Juninière, à main droite.

art.359 du censif de la Braudière.  p. 151

Nous chercherons sur le terrain où a pu se trouver l'Etang Gelier.

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Le dit sieur curé de Fenioux devait deux deniers de cens pour raison d'un petit pré d'un demi journal, dépendant de la cure de Fenioux, situé au dessous de la Butauderie.

Art. 361 du censif de la Braudière.  p. 153

 

Tenement de la Juninière

 

Le sieur Jean Bonnet jardinier au château de Brusson et les enfants Pierre Bonnet, demeurant chez Pierre Renaudet, laboureur à la Juninière, paient pour dîme et cens, pour raison du tenement de la Juninière, contenant environ 102 boisselées de terre et quatre journaux de pré, faisant partie de la métairie de la Juninière.

Art. 349 du censif de la Braudière.

 

Tènement des Nous Vergneuses dépendant des Métairies de la Pouge

 

Le dit sieur Florisson, notaire royal au bourg paie pour 35 boisselées de terre ect … ect … et en outre la rente foncière de cinq livres, autrefois due à la cure de Fenioux, chacun an, au terme de St-Michel.

En outre le seigneur de ce fief doit … pour le tenement des Noues Vergneusesles Rochons, consistant en 73 boisselées de terre et 18 journaux de pré. 

Art. 369 du censif de la Braudière.

 

Dîmes des domaines nobles de la Pouge (allias) fiefs de la Pouge Braude et Beaulieu

 

 

Le dit sieur Florisson paie au terme de Noël, 4 boisseaux de seigle et 4 d'avoine, mesure de Secondigny, nommé « La Rente à Madame », pour raison des droits de dîme au douze sur tous les domaines, nobles de la Pouge, hors d'une moitié de celle de charnage due, savoir : les deux tiers à cette seigneurie de la Braudière et l'autre tiers à ce prieuré de Brusson St-Marc, lesquels domaines étaient autrefois nommés : Fiefs de la Pouge, Braude et Beaulieu.

Art. 371 du censif de la Braudière.  p. 363

   

Village et tenement de la Chebetière

 

Jean François Langlade sieur de la Bernardière, demeurant bourg de Fenioux, et autres consorts, paient pour le village et tenement de la Chebetière etc … etc …

   

Prise d’eau du Moulin de Mousset

La Dame Veuve du sieur Maupetit, demeurant à la Caillerie, commune de Secondigny, et Jean Beaubeau, métayer à la Bouterie de la Chapelle-Thireuil, doivent pour raison de la prise d'eau du Moulin de Mousset, paroisse de la Chapelle-Thireuil.             

Art. 53 du censif de la Lunardière.

En quel endroit à Mousset se trouvait placé le moulin ?

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