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Chapelles fondées dans l’église

"3° Ensuite on trouve dans la même église les chapelles qui ne signifient que fonds et revenus de "chapellenies

"a) de Gaudens ou la Borlière de 80 livres de rente et dont  les évêques nommait le chapelain, 2 "messes par semaine (1648)

"b) la chapelle ou chapellenie ⁽¹²⁾ de La Vault fondée par le sieur Bignonet de la Vault en l’honneur de "St Etienne. Elle dépendait de l’Espinay, valait 140 livres de rente. L’évêque en était le patron.

"c) On trouve encore la chapellenie fondée par un Denys Moreau avec 100 livres de revenu et même patron que précédemment.

"d) La chapelle St Jean aux 90 livres de rente avec le même patron.

"e) Celle de Boissonnau dépendait de la Bernardière avait 100 livres de revenu de fondation et relevait à l’évêque son patron.

"f) Celle de Ste Catherine fondée par Jehan Bouchier avait 100 livres de revenus, les descendants du "fondateur y nommaient.

"g) La chapelle fondée par Bertrand Mosnier prêtre avec 5000 livres de revenus. Les descendants du fondateur y nommaient de même.

"h) Celle fondée par Pierre Raste, ses descendants nommaient à la chapelle de son nom qu’il avait fondée dans l’église de St Pierre de Fenioux et qu’il avait doté de 100 livres de revenus.

"i) De la Verdonnière unie au vicariat de la paroisse, une messe par semaine, revenus 75 livres.

"j) De la Berlandière ou Ste Catherine 4 messes par semaine rev. 10 livres Pres. le seigneur de la Berlière ou Borlière.

"k) De la Bourie ou  Bourée une messe par semaine revenu 45 livres. Pres. l’évêque de la Rochelle.

Si nous totalisons tous ces revenus partiels nous obtenons :   

Ce total représentait une partie du revenu de la cure de Fenioux  avant la Révolution.

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