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L’ Olivrie et le Jardin

 

Vers 1666, L’Olivrie était un petit fief relevant de celui du Bourgarousson, lequel relevait lui-même de la Grande Seigneurie de la Braudière (voir d’autre part et ci-après des détails ou une pièce originale qui est notre propriété personnelle).

Des vieux bâtiments de ce temps là, il ne reste que peu qui soit à remarquer, si ce n'est de vieux murs très épais faisant partie d'une petite ferme dont M. Blanchard, d'Ardin est le propriétaire.

Autour, s'est formé un village de 4 feux qui s'est partagé des lots de terres qui devaient provenir de la même famille.

A la date ci-dessus, le vassal qui détenait le petit fief de l'Olivrie se nommait : M. Joubert, sieur de la Bourie (il y a un lieu appelé la Bourie, commune de Pamplie).

Après ce M. Joubert, un autre Joubert (Pierre) son fils sans doute, fut sieur de l'Olivrie, et enfin un sieur René Gaufreteau, marchand à Secondigny en devint propriétaire par sa femme, la Dame Louise Dutaud qui en avait été héritière d'une Dame Suzanne Joubert, sa tante.

D'autre part au lieu dit "Le Jardin", qui en 1708 était écrit : "Moniardin" par M. le curé de Fenioux, Boutheron, lequel faisait un j avec la forme d'i, ce lieu, dis-je, a dû à la date sus-dite, être habité par un M. Pierre Joubert, sieur de l'Olivrie. Il y est décedé.

Donc dès cette époque, l'Olivrie et le lieu dit Monjardin (le Jardin) appartenaient au même propriétaire; La preuve de ce que nous venons de dire, la voici : Le sixième jour de Janvier 1708 a été enterré dans l'Eglise de ce lieu, le corps de M. Pierre Joubert, sieur de l’Olivrie. Ont été présents, dame Suzanne Joubert, sa soeur, dames Françoise et Marie Suaudeau, ses nièces,  et M. Georges Saboureau, son neveu;                                 

signé : Boutheron curé de Fenioux

Après 1708, nous ne savons au juste quelle famille a possédé les deux propriétés de l'Olivrie et du Jardin.   Ce qui est à notre connaissance, c'est qu'à une époque plus moderne l'Olivrie appartint à une famille Dutaud, dont les descendants existent encore et y possèdent deux parts.

Quand à la propriété du lieu-dit : Monjardin où le Jardin, ainsi qu'une portion de l'Olivrie, elle était il y a 60 où 80 ans environ, la proprièté d'un M. Godeau, curé de Vernoux-en-Gâtine. Ce fut à la mort de ce curé, un M. Godeau, son neveu,  de Champdeniers, qui en hérita, et finalement quelques années après le fils de ce dernier vendit sa part du Jardin ainsi que la part qu'il possédait à l'Olivrie.

Voila à peu près tout ce que nous savons actuellement sur l'Olivrie, Moniardin, Monjardin et enfin le Jardin.

Copie textuelle d' un acte notarié contenant 3 aveux rendus par M M. Pierre Joubert sieur de la Bourie, Pierre Joubert sieur de l'Olivrie, Jacques Jean Jarriault, de la Portière, à cause de sa propriété de la Vergne-Pacault, et Marie Bernaudeau, de la Brunetière;

Ces aveux rendus à plusieurs hauts et puissants seigneurs dont on lira les noms et titres ci-après.

1er.  Aveu

« Sachent tous que de vous, haut et puissant seigneur Messire Charles de la Porte, chevalier des ordres du Roi, seigneur de la Meilleraye, St-Maixent, la Braudière, la Salle de Fenioux, le Bourg-Jarousson et autres places, pair, Grand Maître et capitaine Général de l'Artillerie de France, lieutenant pour le roi en la haute et basse Bretagne et gouverneur de Blavet,

Je, Pierre Joubert, sieur de la Bourie, tiens et avoue tenir de vous, tant pour moy que pour mes hommes, teneurs et sujets, à foy et hommage plain, plet et cheval de service à mutation d'hommes, quand le cas y advient selon la coutume de cette province de Poitou, à cause de votre dite seigneurie du Bourg-Jarousson, sise au bourg et paroisse de Fenioux, c'est à savoir : une borderie de terre où environ herbergée, vulgairement appelée "l'Olivrie" en la dite paroisse de Fenioux, consistant en maison, grange, étable, jardins, prés, terres labourables et non labourables que toutes autres choses quelconques, cens, rentes, dîmes des appartenances et dépendances de la dite borderie, tenant d’une part au chemin tendant de Fenioux à Champdeniers, d'autre aux terres et prés du Bignonet, d'autre au chemin par lequel l'on va de Parthenay à  Coulonges, d'autre au chemin tendant du dit lieu de l'Olivrie à la Vergne-Pacault, d'autre au pré des nommés Mestrau, qui fut Mathurin Bon, d'autre aux terres de la Monnerie, et d'autre au chemin comme l'on va de la Chapelle à Champdeniers, hormis une pièce de terre étant enclose es dite confrontation, appelée "le champ de la Vergne", contenant huit boisselées ou environ, tenue de Notre Dame de Brusson, à certains devoirs de bled et argent, et peuvent les dites choses contenir tant en maison, granges, étables, cour, quaireux, jardins, terres labourables que pâtis, cent boisselées de terre, en pré dix journées de faucheurs ou environ lesquelles je tiens à mon domaine, plus sont tenues de moy, sous les dits hommages, trois pièces de terre et prés qui me doivent la dîxme, les ventes et honneurs quand le cas y advient, c'est à savoir : l'une des dites pièces de terre contenant dix boisselées ou environ, tenant d'une part au pré de l'Eglise de Fenioux, un buisson entre deux, d'autre au Verger de la Cure et d'un bout tendant au chemin de Fenioux à Champdeniers, à vous appartenant à cause de votre dite seigneurie du Bourg-Jarousson, et l'autre pièce de terre, contenant trois septrées ou environ, appelée " les Ageons-Marteau", tenant d'une part au chemin tendant de Fenioux à la Mangotière, d'autre au chemin de Fenioux au Busseau, et d'un bout au pré des Buteaux et aux Pépines-Rageneau, un buisson entre deux qui fut à Jean Guignard du Cotard et ses parsonniers ; plus un pré contenant deux journées de faucheurs ou environ, étant des appartenances de la Vergne, tenue par Pierre Bernaudeau et ses parsonniers, plus sont tenus de moy sous les dits hommages, les terres, prés, et pâturages que tiennent à roture Jean Baribeaud et Bernaudeau, au lieu des héritiers de Bertrand Monnier, et à vous les dites choses, juridiction basse et foncière et la dîxme quand le cas y advient en la forme et manière que moy et mes prédécesseurs avons accoutumés rendre et tenir des Seigneurs et Dames de la seigneurie du Bourg-Jarousson, et tout ce qui en dépend et peut dépendre suivant la coutume du comté de Poitou et de ce pays, et faire protestations d'accroître, d'amender, corriger, modifier, spécifier et plus amplement déclarer si besoin est celui mon présent aveu, toutes et chacunes des choses qui me seront nécessaires et utiles dans le temps que de raison et qu'il sera venu à ma connaissance et notée, et n'entend ou rien comprendre des choses qui sont de l'autrui, en témoin de quoi j'ai signé le présent aveu et fait signer à ma requête aux notaires souscripts, jurés sous la cour de Secondigny, le sixième jour de Juin mil six cent trente neuf; Signé Joubert

M. Bidaut notaire royal, à la requête du dit avouant.

Le présent fief et aveu a été reçu en l'assise de la terre et seigneurie de la Braudière (Fenioux) et fiefs en dépendants avec les salvations et protestations en pareil cas requises et sans préjudice des droits de Monseigneur et de l'autrui, ce sixième Juin mil six cent trente neuf,

signé : Robin Sénéchal, Coyau Substitut, Bonneau, Greffier »

2éme   Aveu

« Sachent tous que de vous très haut et très puissant Seigneur, Armand Charles, Duc de Mazarin, la Meilleraye et de Mayenne, Grand Maître et capitaine Général de l'Artillerie de France, Comte de Bretagne, Belfort, Melle, Baron d'Ahlin, grand bailli d'Agneault, gouverneur et lieutenant pour le Roy en la haute et basse Alzace, gouverneur particulier des villes et citadelles de Nantes, Blavet, Brissac, Philisbourg, Chauray-la-ferré, etc…  Lieutenant Général pour sa majesté en les pays de Bretagne, je, Pierre Joubert,   sieur de l'Olivrie, tiens et avoue tenir tant pour moi que pour mes hommes, teneurs et sujets, de votre duché de la Meilleraye, à foy et à hommage plain et cheval de service, à mutation d'hommes quand le cas y advient, selon la coutume de ce pays de Poitou, à cause de votre Seigneurie du Bourg-Jarousson, unie et incorporée à votre Duché, c'est à savoir : une borderie de terre ou environ herbergée, vulgairement appelée : l'Oliverie, en la dite paroisse de Fenioux, contenant cent boisselées de terre, consistant etc… etc… (comme ci avant énoncée) j'abrège, parce que les énonciations sont pareilles a l'aveu ci-avant, et j'arrive à la fin de l'aveu, libellé ainsi : En témoin de quoy, j'ay signé le présent aveu et fait signer à ma requête aux notaires souscripts, jurés sous la cour de votre Duché et payerie de la Meilleraye, établi en la ville de votre comté de Secondigny, le treizième jour de mars, l'an mil six cent soixante six, signé : Joubert, M.Benetreau notaire à la requête du dit avouant, et P. Mestay notaire à la requête du dit avouant. 

3éme   Aveu

Aujourd'hui Samedi huit Mars mil sept cent quatre vingt huit , par devant nous Me Jacques Maupetit, notaire royal de la Sénéchaussée de Poitiers, commissaire aux droits seigneuriaux de haut et puissant seigneur, Messire Louis-Joseph Jacob Janvre, chevalier de l'ordre royal et militaire de St-Louis, ancien capitaine de cavalerie, chevalier seigneur de la Bouchetière, St. Lin, Brusson, la Braudière, Boissoudan, Vernoux, la Ménardière, la Baraudière et leurs annexes, suivant les lettres patentes  accordées par sa majesté, le troisième jour de Février mil sept cent  quatre vingt sept, au dit seigneur Janvre de la Bouchetière, enregistrées au greffe de la Sénéchaussée de Poitiers, dûment publiées où besoin a été, en présence de Me Antoine Alexandre Garoteau aussi notaire royal de la dite Sénéchaussée, et de M° Pierre Blanchet, feudiste * procureur général et spécial du dit seigneur Janvre de la Bouchetière, suivant sa procuration passée devant Me Florisson aussi notaire royal de la dite Sénéchaussée de Poitiers, pour la résidence de Fenioux, le 1er. Octobre mil sept cent quatre vingt sept, contrôlée à Champdeniers le trois du dit mois, et par Alizar qui a reçu les droits.

* celui qui a étudié, qui connaît la matière des fiefs

A comparu en personne le sieur René Gaufreteau marchand, demeurant au bourg et paroisse de Secondigny, au nom et comme mari de demoiselle Louise Dutaud, fille héritière de Marie Jamain, femme de Jean Dutaud, laquelle dite Jamain était héritière de Suzanne Joubert, sa tante ; lequel au dit nom a offert faire à mon dit Seigneur de la Bouchetière, la foi et hommage plain, baisé et serment de fidélité qu'il lui doit et est tenu faire à cause de sa seigneurie du Bourg-Jarousson, unie à la dite seigneurie de la Braudière ; pour raison de la borderie de l'Olivrie, faisant partie de la métairie de l'Olivrie, sise paroisse de Fenioux, payer les mutations à lui dues par la mort de la dite Jamain, femme de Jean Dutaud, et l'autre par le mariage du dit sieur Gaufreteau avec la dite Louise Dutaud, et faire généralement tout ce qu'il est tenu de faire par la coutume du pays de Poitou, pourquoi nous et du consentement du dit sieur Blanchet au dit nom, avons reçu et recevons Gaufreteau à la dite foy et hommage plain, baisé et serment de fidélité qu'il doit à raison de la dite portion de la métairie de l'Olivrie, après qu'il a fait le serment d'être bon et fidèle vassal à mon dit seigneur de la Bouchetière, tel qu'homme tenant par foy et hommage plain est tenu par la coutume, le baisé réservé au dit seigneur de la Bouchetière, et acte de ce qu'il a payé quatre livres cinq sols pour les sus dites mutations ; et a le dit sieur Gaufreteau au dit nom, demandé à être reçu à rendre son aveu par le même acte, ainsi qu'il en fut autorisé conformément aux lettres patentes du roy, concernant la taxe des droits de commissaire à terrier, données à Versailles, le vingt août mil sept cent quatre vingt six, registrées au parlement le cinq septembre suivant, ect....ect.....ect......

Citation d'un passage : Une pièce de terre d'une contenance de dix boisselées qu'il est dit qui touche du midi aux terres de la métairie de la Chevallerie dépendante de la seigneurie de la Braudière, ect......ect........ect.......                                                        

Conclusion : On voit par là que en 1788, la métairie de la Chevallerie dépendait et relevait de la seigneurie de la Braudière ect… ect…

 

Ci après viennent encore plusieurs teneurs et sujets dont certaines terres qu'ils possédaient relevaient du seigneur Janvre de la Bouchetière.

Nous citons encore :

1° Le sieur Jean Guillaume Florisson, notaire royal du Poitou, demeurant à Fenioux, pour deux pièces de terre, appelées "Les Ageons Marteaux", l'une contenant trois boisselées et l'autre quatre, se tenant et joignant vers sus dit est, les terres et prés nommés "La Noue Jamboeuf" au dit sieur Florisson vers nord ou est, la terre dépendante de la dite seigneurie de la Braudière ect… ect… ect…

2° Jacques Jean Jarriault, métayer à la Portière de Fenioux, à cause de sa borderie de la Vergne-Pacault, ect… ect…, détail des terres et terrements …

3° Marie Bernaudeau, du village de la Brunetière de Fenioux, à cause, elle aussi, de sa borderie de la Vergne-aux-Pacault, pour une pièce appelée "Le Grand Pré" ect… détail des terres et terrements …

Pour raison desquels domaines ci dessus et des autres parts détaillées et confrontées, le dit sieur Gaufreteau, au dit nom, a reconnu et confessé être homme sujet et vassal du dit seigneur de la Bouchetière à cause de sa seigneurie et haute justice du Bourg-Jarousson unyie à celle de la Braudière, à foy et hommage plain, avec juridiction basse et foncière, plet et cheval de service à mutation d'homme quand le cas y advient, abonné à quarante deux sols six deniers, luy donner fidélité et obéissance ainsi qu'il appartient suivant les aveux foy et hommages ci après cités reliés au chapitre du seize Juin mil six cent trente neuf, aveux de Pierre Joubert du treize Mars mil six cent soixante six, aveu de Pierre Joubert, du seize Janvier mil sept cent onze, aveu de la dite Suzanne Joubert, contrôlé à Coulonges le lendemain, et en outre à raison des sus dits domaines et autres mouvants de cette dite seigneurie de la Braudière, il a reconnu devoir des rentes foncières et autres, sans en rien préjudicier aux droits du dit seigneur Janvre, assurant ne faire faux aveux, affirmant au surplus tous ceux ci dessus sincères et véritables ; en foy de quoy il l'a fait écrire et signer aux notaires royaux sous signés, en présence du dit sieur Blanchet feudiste, aussi soussigné, procureur Général et Spécial du dit seigneur Janvre de la Bouchetière, seigneur de la dite seigneurie du Bourg Jarousson, unie à la dite seigneurie et haute Justice de la Braudière qui a reçu et reçoit le présent aveu, sauf les Blaimes, dans le temps de la coutume s’il y a lieu, dont le dit sieur Gaufreteau au dit nom, a requis acte a lui octroy.

Fait et passé au Château de la Braudière, paroisse de Fegnioux, les jours et an que dessus, lu au dit sieur Gaufreteau qui a signé avec nous ; aussi signé : René Gaufreteau, Garoteau, notaire royal, Maupetit le Jeune, notaire royal. Contrôlé à Champdeniers le seize mars mil sept cent quatre vingt huit, reçu quatre livres dix sols ; signé  Alizard.

Bouchet avocat, procureur du sieur René Gaufreteau, marchand propriétaire de la métairie noble de l'Olivrie et fiefs en dépendant en la paroisse de Fegnioux, demandeur originaire et incidemment communique et donne copie à M. Jean Ardouin, avocat procureur du sieur Jean Jarriault, propriétaire de la borderie de la Vergne-Pacault et ses dépendances, en la dite paroisse de Fegnioux, défendeur originaire et incidemment des pièces dont l'énonciation suit :

La première du six Juin mil six cent trente neuf, est un aveu de la seigneurie de l'Olivrie rendu par Pierre Joubert, sieur de la Bourie, propriétaire du dit lieu, à M. Charles de la Porte, seigneur de la Meilleraye et autres lieux, à cause de sa seigneurie du Bourg-Jarousson, d'ou la seigneurie de l'Oliverie est mouvante et relevante à foy et hommage plain, plet et cheval de service, avec juridiction basse et foncière, le dit aveu reçu par Bidault notaire, à la suite duquel est la réception qui en a été faite le même jour par les officiers de la seigneurie de la Braudière, du Bourg Jarousson et autre fiefs en dépendant, signé : Robin  sénéchal, Poireault  substitut, Bonneau  greffier

La seconde est un autre aveu de la même seigneurie de l'Olivrie, en date du treize mars mil six cent soixante six, reçu par Benestreau et Métais, notaires, rendu par Pierre  Joubert, sieur de l'Olivrie, à Messire Armand Charles, duc de Mazarin, la Meilleraye et Mayenne, à cause de sa seigneurie du Bourg-Jarousson, en la paroisse de Fegnioux

3 ° La troisième et dernière est aussi un aveu rendu par le sieur René Gaufreteau, demandeur au nom et comme mari de Demoiselle Louise Dutaud, propriétaire du dit lieu, à Messire Joseph Jacob Janvre, chevalier seigneur de la Bouchetière, la Braudière, le Bourg Jarousson et autres lieux, à cause de la dite seigneurie du Bourg-Jarousson, celui ci en date du huit mars dernier, reçu par Garoteau et Maupetit notaires royaux, contrôlé à Champdeniers le seize mars, par Alizard ;

La présente communication faite pour justifier la mouvance et féodalité du sieur Gaufreteau sur les objets portés et détaillés et confrontés par les dits aveux, notamment sur le champ de la Treperche  appartenant au sieur Jarriault, et du contenu en la requête de ce jour, à ce que le dit Me Ardouin et sa partie n'en ignorent, sous l'expresse réserve de tirer des pièces communiquées telles autres instructions et moyens qu'il appartiendra, et de tous autres droits demandés et actions du demandeur;

Dont acte, le 30  Juin  1788, signifié au dit  Ardouin par moy ; Boismenet                              

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